La part de marché «cloud» réalisée par ces entreprises hors Etats-Unis passerait de 80% en 2014 à 65% en 2016, voire à 55% dans le pire des scénarios. L’industrie américaine, qui maintiendrait tout de même sa domination, pourrait donc perdre jusqu’à 20 points de parts de marché à l’international au cours des deux ans qui viennent, a chiffré l’ITIF (Information Technology and Innovation Foundation).