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NSI Luxembourg PSF, premier bilan

De nouvelles références et une offre souveraine en IA

Manuel Pallage : "NSI Luxembourg PSF, premier bilan"

De nouvelles références et une offre souveraine en IA

Voici tout juste un an, les équipes de NSI Luxembourg PSF et CTG PSF fusionnaient, prêtes à opérer sous un seul et unique étendard. Premier bilan aujourd’hui. Explications et commentaires de Manuel Pallage, CEO du Groupe NSI et Country Manager Luxembourg.

Il aura fallu une bonne année pour fusionner les équipes de CTG et de NSI au Luxembourg. Une année durant laquelle des passerelles ont été créées entre les équipes. Fin 2025, le premier bilan est plus que positif. NSI Luxembourg PSF clôturera l’année avec un chiffre d’affaires de 77 millions EUR, hors activités de Multidata (PME). Après cette année de préparation, cette fusion, qui devait être un « non-événement » selon Manuel Pallage, s’avère être un formidable succès.

« Si, par nature, les fusions sont toujours délicates à conduire, nous pouvons être fiers de celle-ci. Nous avons combiné la sagesse d’une société présente depuis plus de trente ans et le côté novateur et agile d’une structure qui fonctionnait encore comme une startup ! » illustre, non sans plaisir, Manuel Pallage.

Au niveau des équipes, la fusion a généré une croissance nette de l’emploi, avec 45 nouveaux talents sur 2025, portant l’effectif à 610 collaborateurs – dont environ 320 issus de CTG. « Nous avons remporté de nombreux nouveaux marchés, comme par exemple UNI, l’université de Luxembourg, en mode Managed Services. Au total, nous comptons 347 grands clients actifs. Et nous continuons à recruter pour en servir de nouveaux. » Autre motif de satisfaction : avoir fait monter un grand nombre de collaborateurs à la tête du groupe. Aujourd’hui, 50 % des fonctions de management du Groupe NSI proviennent de la structure luxembourgeoise, preuve de la qualité du leadership local.

1 million EUR dans un cloud souverain

Côté offre, NSI Luxembourg PSF propose une expertise complète : data, cloud, infrastructure, développement applicatif, services managés, mais aussi cybersécurité, automatisation et IA, le tout dans un cadre PSF (Prestataire de Services Financiers) rigoureux.

Si le marché luxembourgeois a toujours été sensible au principe de souveraineté, la demande évolue. La localisation des données ne suffit plus. Les entreprises, aujourd’hui, veulent maîtriser de la technologie. Des notions telles que la dépendance aux éditeurs / hyperscalers, l’interopérabilité ou la réversibilité sont de plus en plus déterminantes.

Pour répondre à ces attentes, NSI Luxembourg PSF a investi 1 million EUR dans un cloud souverain luxembourgeois dédié au développement et au déploiement de modèles d’IA à grande échelle, en s’appuyant sur les différentes plateforme IA disponibles sur le marché.

Le projet ? Offrir aux entreprises et aux institutions une solution IA prête à l’usage, conforme aux exigences de sécurité, auditabilité et souveraineté.

« L’IA, ça bouge bien au Luxembourg ! »

 

 

Cette solution s’articule autour de deux volets complémentaires.

 

 

Ensuite, un catalogue d’applications et technologies basées sur l’IA prêtes à l’emploi dans des domaines et usages variés, incluant :

« La demande en projets d’IA est particulièrement forte au Luxembourg. Ça bouge bien !», note encore Manuel Pallage. « Les projets s’inscrivent dans un cadre réglementaire strict, ce qui renforce notre position. »

Cela implique également un réel intérêt pour NIS2 et DORA. Par ailleurs, de nombreux projets concernent aussi Atlassian et, plus largement, le développement applicatif.

Un marché dynamique et une vision internationale

Le marché luxembourgeois étant particulièrement dynamique, c’est une opportunité unique de repousser les frontières de l’innovation et enrichir l’expérience utilisateur dans les pays où le Groupe NSI opère -Belgique, Canada, France et Luxembourg.

« La matrice NSI s’articule autour de trois lignes de services proposés dans quatre pays. Chaque pays nourrit le groupe de sa propre expertise -pour le Luxembourg c’est notamment l’IA souveraine, mais également les plateformes IBM. », précise Manuel Pallage. « Cette organisation a permis en 2025 de piloter pas moins de 25 projets multi-pays. »

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