Outre le salaire, les conditions de travail et les perspectives de carrière, l’expérience collaborateur joue un rôle de plus en plus décisif.

Les décideurs européens prennent très au sérieux l’amélioration de l’expérience collaborateur. Une récente étude de l’Economist Intelligence Unit pour Citrix le démontre, chiffres à l’appui. Plus que les conditions de travail individuelles, cette expérience globale a un impact significatif sur leur contribution au succès de l’entreprise. Les entreprises utilisant la technologie pour moderniser l’expérience collaborateur auraient même plus de chances d’attirer les bons profils. C’est aussi un excellent moyen pour stimuler l’engagement et la productivité. A la clé, une amélioration globale des résultats.

En revanche, pour que la technologie ait une influence positive sur les conditions de travail, une bonne coordination entre les différents services s’impose. C’est le cas, notamment, entre IT et HR. En somme, plus de synergie pour plus de productivité ! Or, constate Citrix, cette coopération peine encore à s’affirmer…

Quand, où et comme je veux !

Selon l’étude, 26% des décideurs européens estiment que l’expérience collaborateur au sein de leur entreprise s’est nettement améliorée au cours des deux dernières années. Cette évolution répond à une véritable demande. Aujourd’hui, les employés souhaitent être libres de travailler quand, où et comme ils le veulent. Ils s’attendent également à ce que ce soit aussi facile que dans leur vie personnelle.

Que demandent, justement, les collaborateurs ? Prioritairement, pouvoir travailler depuis n’importe quel endroit (44 %), ensuite, accéder facilement à l’information (43 %). Ils veulent aussi plus de facilité d’utilisation (40%). Egalement une expérience de type ‘grand public’ (33 %). Et, bien évidemment,  avoir  le choix des terminaux (31 %)…

L’expérience collaborateur, une vrai capital

Par ailleurs, les principaux facteurs technologiques d’accroissement de la productivité sont : la facilité d’accès à l’information (44 %), la facilité d’utilisation (39 %), la rentabilité (36 %), le choix des terminaux (32 %) et la possibilité de travailler n’importe où (32 %).

Comme le note encore Citrix, les modèles traditionnels sont amenés à disparaitre. L’avenir du travail est dynamique et décentralisé. L’espace de travail numérique doit être à cette image : adaptatif et toujours pertinent.